Si k’èm’ tant’ el avo dé reulet’ on l’apèlro carèt’
Si ma tante avait des roues, l’appellerait charrette.
Réponse donnée à un menteur, un vantard
L’Échos du Pas-de-Calais N° 170 – Mai 2017.
Mon p'tit bonheur à la Côte d'Opale
Location d'une jolie maison de vacances sur la Côte d'Opale
Si k’èm’ tant’ el avo dé reulet’ on l’apèlro carèt’
Si ma tante avait des roues, l’appellerait charrette.
Réponse donnée à un menteur, un vantard
L’Échos du Pas-de-Calais N° 170 – Mai 2017.
Certains d’entre-vous ont connu la galère de réchauffer le rez de chaussée par grand froid.
Oubliez désormais ce soucis, de nouveaux radiateurs à inertie fonte viennent d’être installés. De marque Thermor Kenya, un vertical de 2000 w chauffera le salon et la cage d’escalier, voire les chambres, et un horizontal de 1250 w vous offrira son confort dans le coin à manger.
Pas de changement des tarifs de location mais, une économie appréciable sur le décompte électricité.
Après la destruction, voulue par les uns, décriée par les autres, des bunkers de la plage sud de Wissant, des mesures de protection du cordon dunaire ont du être mises en place.
Il faut savoir que depuis 1949, la mer a gagné 300 mètres, sapant les bunkers.
Actuellement le recul de la dune est estimé à 4 mètres par an.
La décision de la Municipalité de détruire ces vestiges du mur de l’Atlantique a sans doute été en partie motivée par un dramatique accident. En 2007, un allemand s’est fracturé le crâne après être monté sur un de ces bunker, il est décédé en 2011 et la Ville a été condamnée à dédommager la famille (260.000 €) pour sa responsabilité.
Régulièrement, nous ramassons les déchets d’origine humaine sur les plages.
Muni d’un sac récupérable (type toile plastifiée, offert par les supermarchés), nous les déversons dans une poubelle publique à notre retour.
S’il nous arrive d’oublier notre sac, un petit système D (une botte ici),, nous permet de rassembler les déchets.
Septembre 2016, une balade à Saint-Gabriel nous offre une vision différente de l’estuaire de la Canche.
Elle nous semble particulièrement proche, et en effet, il nous fallut marcher bien moins d’un kilomètre pour arriver sur sa berge à basse mer.
Après l’épis en enrochements, elle s’est épanchée vers le nord, vers Saint-Gabriel.
C’est dans des effluves douces et gourmandes que cette visite commence.
L’atelier de production est aménagé pour accueillir le public. Le processus nous est expliqué depuis la culture du cacaoyer (la société possède des cultures), la récolte, le séchage, la torréfaction… Puis les réalisations de la chocolaterie est abordée.
Bien entendu, la visite se termine par une dégustation et rares sont les touristes qui repartent les mains vides.
Stanislas Euchin a totalement défriché les 4500 m2 d’anciennes cressonnières et les a remises en exploitation.
Depuis 2014, il propose un cresson de fontaine bio, dans la tradition locale, connu dans toute le région où la demande est sans cesse grandissante.